Sur la Croix, Jésus fait l’éloge de sa Mère

© Shutterstock/artin1

Sur la Croix, Jésus fait l’éloge de sa Mère

En ce mois de mai, nous célébrons les mamans à l’occasion de la fête des mères. Considérons la façon dont Jésus a fait l’éloge de sa mère.

Alors qu’il était en croix, il a dit à la Vierge Marie : « Femme, voici ton fils ». On pourrait penser qu’il demandait à sa mère de fixer son regard sur lui une dernière fois. Or, ce n’est pas ce que Jésus voulait. Il voulait qu’elle fixe son regard sur un jeune homme qui se tenait à côté d’elle. Il s’appelait Jean. Lorsque notre Seigneur a dit : « Femme, voici ton fils », il demandait à Marie de s’occuper de Jean comme une mère s’occupe de son propre enfant. Pour que cela soit clair, il a dit à Jean : « Voici ta mère ».

Il y a là un mystère. Jean n’avait pas besoin d’être materné au sens habituel du terme. Lorsque Jésus l’a appelé à devenir apôtre, Jean était un pêcheur qui travaillait avec son frère Jacques dans une petite entreprise de pêche dirigée par leur père Zébédée. Comment la Vierge Marie était-elle censée être une mère pour cet homme ?

L’Évangile ne nous le dit pas explicitement. Mais nous connaissons les trois plus grandes vertus. Comme l’a écrit saint Paul : « la foi, l’espérance et la charité… et la plus grande d’entre elles est la charité». On peut supposer que le rôle de Marie en tant que mère était de fortifier Jean dans la foi, de l’encourager à ne pas abandonner dans les moments difficiles et, surtout, à consacrer tout son cœur et toute son âme à Jésus. En d’autres termes, les paroles du Christ sur la croix sont des paroles d’éloge de la grandeur de sa mère et de sa capacité à enseigner à quelqu’un comment croire, comment espérer et comment aimer.

Lorsque Jésus dit à Marie : « Femme, voici ton fils », ces mots indiquent à quel point elle était sainte. Jésus lui demandait d’être une mère spirituelle pour Jean. Souvenez-vous de la qualité de cet apôtre. Jean a été le premier à croire que Jésus était ressuscité. Contrairement aux autres disciples, il a cru avant même d’avoir vu Jésus revivre physiquement. Jean était « le disciple que Jésus aimait ». Jean était le visionnaire qui parlait avec les anges et qui a écrit le livre de l’Apocalypse.

Tout comme Jésus a honoré et loué sa mère, nous voulons honorer et louer nos propres mères pour tout ce qu’elles ont fait pour nous.

Père Joe Babendreier

www.opusdei.org

Prions :
Je vous salue, Marie pleine de grâce ; le Seigneur est avec vous. Vous êtes bénie entre toutes les femmes et Jésus, le fruit de vos entrailles, est béni. Sainte Marie, Mère de Dieu, priez pour nous pauvres pécheurs, maintenant et à l’heure de notre mort.
Amen.

Source : Une minute avec Marie

Sur la Croix, Jésus fait l’éloge de sa Mère

Sur la Croix, Jésus fait l’éloge de sa Mère

En ce mois de mai, nous célébrons les mamans à l’occasion de la fête des mères. Considérons la façon dont Jésus a fait l’éloge de sa mère.

Alors qu’il était en croix, il a dit à la Vierge Marie : « Femme, voici ton fils ». On pourrait penser qu’il demandait à sa mère de fixer son regard sur lui une dernière fois. Or, ce n’est pas ce que Jésus voulait. Il voulait qu’elle fixe son regard sur un jeune homme qui se tenait à côté d’elle. Il s’appelait Jean. Lorsque notre Seigneur a dit : « Femme, voici ton fils », il demandait à Marie de s’occuper de Jean comme une mère s’occupe de son propre enfant. Pour que cela soit clair, il a dit à Jean : « Voici ta mère ».

Il y a là un mystère. Jean n’avait pas besoin d’être materné au sens habituel du terme. Lorsque Jésus l’a appelé à devenir apôtre, Jean était un pêcheur qui travaillait avec son frère Jacques dans une petite entreprise de pêche dirigée par leur père Zébédée. Comment la Vierge Marie était-elle censée être une mère pour cet homme ?

L’Évangile ne nous le dit pas explicitement. Mais nous connaissons les trois plus grandes vertus. Comme l’a écrit saint Paul : « la foi, l’espérance et la charité… et la plus grande d’entre elles est la charité». On peut supposer que le rôle de Marie en tant que mère était de fortifier Jean dans la foi, de l’encourager à ne pas abandonner dans les moments difficiles et, surtout, à consacrer tout son cœur et toute son âme à Jésus. En d’autres termes, les paroles du Christ sur la croix sont des paroles d’éloge de la grandeur de sa mère et de sa capacité à enseigner à quelqu’un comment croire, comment espérer et comment aimer.

Lorsque Jésus dit à Marie : « Femme, voici ton fils », ces mots indiquent à quel point elle était sainte. Jésus lui demandait d’être une mère spirituelle pour Jean. Souvenez-vous de la qualité de cet apôtre. Jean a été le premier à croire que Jésus était ressuscité. Contrairement aux autres disciples, il a cru avant même d’avoir vu Jésus revivre physiquement. Jean était « le disciple que Jésus aimait ». Jean était le visionnaire qui parlait avec les anges et qui a écrit le livre de l’Apocalypse.

Tout comme Jésus a honoré et loué sa mère, nous voulons honorer et louer nos propres mères pour tout ce qu’elles ont fait pour nous.

Père Joe Babendreier

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Lectures de la messe du jour

Prions :
Je vous salue, Marie pleine de grâce ; le Seigneur est avec vous. Vous êtes bénie entre toutes les femmes et Jésus, le fruit de vos entrailles, est béni. Sainte Marie, Mère de Dieu, priez pour nous pauvres pécheurs, maintenant et à l’heure de notre mort.
Amen.

Source : une minute avec Marie

Sur la Croix, le Christ offre sa Mère comme Mère de toute l’humanité

© Shutterstock/Zvonimir Atletic

Sur la Croix, le Christ offre sa Mère comme Mère de toute l’humanité

« En affirmant que Marie est “notre mère selon l’ordre de la grâce ”, le Concile Vatican II souligne que sa maternité spirituelle ne se limite pas aux seuls disciples, comme si les paroles prononcées par Jésus sur le Calvaire : “Femme, voici ton fils” (Jn 19, 26), exigeaient une interprétation restrictive. En effet, par ces paroles, le Crucifié a établi une relation intime entre Marie et son disciple bien-aimé, une figure typologique de portée universelle, dans l’intention d’offrir sa Mère comme Mère à toute l’humanité ».

Ces paroles ont été prononcées par le pape saint Jean-Paul II lors de l’audience générale du Saint-Père, le mercredi 24 septembre 1997. Elles nous rappellent l’universalité de la maternité de Marie, qui s’est manifestée de manière éclatante aux yeux du monde entier le 7 décembre 2024, lors de la magnifique cérémonie célébrant la réouverture de l’emblématique et magnifique cathédrale Notre-Dame de Paris, un monument sacré qui a failli être détruit par un incendie en 2019.

Les nombreux dignitaires qui assistaient à sa réouverture présentaient une assemblée pour le moins éclectique sur le plan politique, idéologique et théologique. Les participants venaient de différents pays, groupes ethniques, organisations et partis politiques et de traditions religieuses différentes. En toute probabilité, il y avait même des personnes qui n’avaient aucune foi religieuse et dont l’appréciation de Notre-Dame se limitait à sa beauté artistique et architecturale.

Marie a rassemblé toutes ces personnes uniques et diverses en un seul lieu, dans un but commun, dans une atmosphère de paix et de vérité. C’est ce que font toutes les bonnes mères : elles rassemblent leurs enfants, dans l’intention de favoriser des relations saines et pacifiques entre eux. Notre Mère céleste le fait depuis des années dans des lieux comme Fatima, au Portugal, où elle est apparue à trois petits pastoureaux en 1917.

La Providence a certainement voulu qu’en 1917, Marie apparaisse dans un lieu qui porte le nom d’une Musulmane convertie à la foi catholique : une femme qui, à la naissance, avait été nommée d’après la fille de Mahomet. C’est pourquoi de nombreux Musulmans se rendent chaque année en pèlerinage au sanctuaire catholique de Marie à Fatima, au Portugal.

www.thericatholic.com

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Prions :
Je vous salue, Marie pleine de grâce ; le Seigneur est avec vous. Vous êtes bénie entre toutes les femmes et Jésus, le fruit de vos entrailles, est béni. Sainte Marie, Mère de Dieu, priez pour nous pauvres pécheurs, maintenant et à l’heure de notre mort.
Amen.

Source : une minute avec Marie

Sur la Croix, le Christ offre sa Mère comme Mère de toute l’humanité

© Shutterstock/Zvonimir Atletic

Sur la Croix, le Christ offre sa Mère comme Mère de toute l’humanité

« En affirmant que Marie est “notre mère selon l’ordre de la grâce” , le Concile [Vatican II] souligne que sa maternité spirituelle ne se limite pas aux seuls disciples, comme si les paroles prononcées par Jésus sur le Calvaire : “Femme, voici ton fils” (Jn 19, 26), exigeaient une interprétation restrictive. En effet, par ces paroles, le Crucifié a établi une relation intime entre Marie et son disciple bien-aimé, une figure typologique de portée universelle, dans l’intention d’offrir sa Mère comme Mère à toute l’humanité ».

Ces paroles ont été prononcées par le pape saint Jean-Paul II lors de l’audience générale du Saint-Père, le mercredi 24 septembre 1997. Ils nous rappellent l’universalité de la maternité de Marie, qui s’est manifestée de manière éclatante aux yeux du monde entier le 7 décembre 2024, lors de la magnifique cérémonie célébrant la réouverture de l’emblématique et magnifique cathédrale Notre-Dame de Paris, un monument sacré qui a failli être détruit par un incendie en 2019. Les nombreux dignitaires qui assistaient à sa réouverture présentaient une assemblée pour le moins éclectique sur le plan politique, idéologique et théologique. Les participants venaient de différents pays, groupes ethniques, organisations et partis politiques et de traditions religieuses différentes. En toute probabilité, il y avait même des personnes qui n’avaient aucune foi religieuse et dont l’appréciation de Notre-Dame se limitait à sa beauté artistique et architecturale.

Marie a rassemblé toutes ces personnes uniques et diverses en un seul lieu, dans un but commun, dans une atmosphère de paix et de vérité. C’est ce que font toutes les bonnes mères : elles rassemblent leurs enfants, dans l’intention de favoriser des relations saines et pacifiques entre eux. Notre Mère céleste le fait depuis des années dans des lieux comme Fatima, au Portugal, où elle est apparue à trois petits pastoureaux en 1917.

La Providence a certainement voulu qu’en 1917, Marie apparaisse dans un lieu qui porte le nom d’une musulmane convertie à la foi catholique : une femme qui, à la naissance, avait été nommée d’après la fille de Mahomet. C’est pourquoi de nombreux musulmans se rendent chaque année en pèlerinage au sanctuaire catholique de Marie à Fatima, au Portugal.

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Lectures de la messe du jour

Prions :
Je vous salue, Marie pleine de grâce ; le Seigneur est avec vous. Vous êtes bénie entre toutes les femmes et Jésus, le fruit de vos entrailles, est béni. Sainte Marie, Mère de Dieu, priez pour nous pauvres pécheurs, maintenant et à l’heure de notre mort.
Amen.

Source : une minute avec Marie