En Marie, nous voyons que l’humilité et la tendresse ne sont pas les vertus des faibles, mais des forts

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En Marie, nous voyons que l’humilité et la tendresse ne sont pas les vertus des faibles, mais des forts

Chaque fois que nous regardons Marie, nous voulons croire en la force révolutionnaire de la tendresse et de l’affection. En elle, nous voyons que l’humilité et la tendresse ne sont pas les vertus des faibles, mais des forts, qui n’ont pas besoin de maltraiter les autres pour se sentir importants.


En la regardant, nous découvrons que celle qui louait Dieu parce qu’« il a renversé les potentats de leurs trônes » et « a renvoyé les riches les mains vides » (Lc 1, 52 -53) est la même qui nous donne de la chaleur maternelle dans notre quête de justice ». C’est aussi elle qui « conservait avec soi toutes ces choses, les méditant en son cœur » (Lc 2, 19).

Pape François

Exhortation apostolique Evangelii Gaudium, « La joie de l’Évangile » § 288

Lectures de la messe du jour

Prions :
Je vous salue, Marie pleine de grâce ; le Seigneur est avec vous. Vous êtes bénie entre toutes les femmes et Jésus, le fruit de vos entrailles, est béni. Sainte Marie, Mère de Dieu, priez pour nous pauvres pécheurs, maintenant et à l’heure de notre mort.
Amen.

Source : une minute avec Marie

En Marie, aucune séparation entre l’action et la contemplation

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En Marie, aucune séparation entre l’action et la contemplation

C’est chez la Vierge Marie que tu apprécieras le mieux la valeur d’une vie surnaturelle et d’une spiritualité profonde.

Dans sa vie, aucun geste, aucune pensée, si minime soit-elle, qui ne soit inspirée par Jésus ; pas une seule de ses minutes qui soit vécue loin de lui. L’existence de la Vierge est toute faite d’intériorité.

Chez elle, il n’y a aucune séparation entre l’action et la contemplation, car la contemplation imprègne l’action tandis que l’action naît de la contemplation.

Cardinal François-Xavier Nguyen Van Thuan, Sur le chemin de l’espérance, Le Sarment, Fayard 1991 Chapitre 35 – Notre Mère Marie, notule 937

Lectures de la messe du jour

Prions :
Je vous salue, Marie pleine de grâce ; le Seigneur est avec vous. Vous êtes bénie entre toutes les femmes et Jésus, le fruit de vos entrailles, est béni. Sainte Marie, Mère de Dieu, priez pour nous pauvres pécheurs, maintenant et à l’heure de notre mort.
Amen.

Source : une minute avec Marie

En Marie, « Dieu descend au cœur même de la matière »

En Marie, « Dieu descend au cœur même de la matière »

Marie, Mère de Dieu, empêche de réduire Jésus à son enseignement, à son message ou à son exemple. Jésus ne donne pas une philosophie à apprendre, il est une Personne à aimer. Seule la Mère de Dieu aime Jésus comme il le mérite, et c’est pourquoi saint Jean-Paul II a rappelé que « Marie nous conduit au Christ et le Christ nous conduit à sa Mère ».

L’essence même de la maternité, c’est en effet de rendre les choses concrètes. Pour le cardinal italien Raniero Cantalamessa : « Dieu est entré silencieusement dans le sein d’une femme. Dieu descend au cœur même de la matière : [Le mot] mater [« mère » ] vient de materia [« matière »]. La Mère de Dieu nous ramène constamment au cœur de la matière et nous rappelle l’humanité de son divin Fils. »

Le bienheureux Guerric d’Igny, moine cistercien belge du XIIe siècle, insiste : « Marie est la Mère de la Vie, par laquelle toutes choses vivent. » Cette vie n’a rien de vague, de spéculatif ou d’impersonnel, c’est Jésus lui-même, le Chemin, la Vérité et la Vie. Plus l’âme est tournée vers la Mère de cette vie, plus elle apprend à connaître et à embrasser la vie dans sa plénitude. Pour avoir davantage de vie dans sa vie, il faut avoir une Mère qui la donne : Marie le fait.

Peter Cameron le 10/02/23

www.fr.aleteia.org

Prions :

Je vous salue Marie, pleine de grâce ;
Le Seigneur est avec vous.
Vous êtes bénie entre toutes les femmes
Et Jésus, le fruit de vos entrailles, est béni.
Sainte Marie, Mère de Dieu,
Priez pour nous pauvres pécheurs,
Maintenant et à l’heure de notre mort.

Amen

Source : une minute avec Marie

En Marie, « Dieu descend au cœur même de la matière »

En Marie, « Dieu descend au cœur même de la matière »

Marie, Mère de Dieu, empêche de réduire Jésus à son enseignement, à son message ou à son exemple. Jésus ne donne pas une philosophie à apprendre, il est une Personne à aimer. Seule la Mère de Dieu aime Jésus comme il le mérite, et c’est pourquoi saint Jean-Paul II a rappelé que « Marie nous conduit au Christ et le Christ nous conduit à sa Mère ».

L’essence même de la maternité, c’est en effet de rendre les choses concrètes. Pour le cardinal italien Raniero Cantalamessa : « Dieu est entré silencieusement dans le sein d’une femme. Dieu descend au cœur même de la matière : [Le mot] mater [« mère » ] vient de materia [« matière »]. La Mère de Dieu nous ramène constamment au cœur de la matière et nous rappelle l’humanité de son divin Fils. »

Le bienheureux Guerric d’Igny, moine cistercien belge du XIIe siècle, insiste : « Marie est la Mère de la Vie, par laquelle toutes choses vivent. » Cette vie n’a rien de vague, de spéculatif ou d’impersonnel, c’est Jésus lui-même, le Chemin, la Vérité et la Vie. Plus l’âme est tournée vers la Mère de cette vie, plus elle apprend à connaître et à embrasser la vie dans sa plénitude. Pour avoir davantage de vie dans sa vie, il faut avoir une Mère qui la donne : Marie le fait.

Peter Cameron le 10/02/23

www.fr.aleteia.org

Prions :

Je vous salue Marie, pleine de grâce ;
Le Seigneur est avec vous.
Vous êtes bénie entre toutes les femmes
Et Jésus, le fruit de vos entrailles, est béni.
Sainte Marie, Mère de Dieu,
Priez pour nous pauvres pécheurs,
Maintenant et à l’heure de notre mort.

Amen

Source : une minute avec Marie