02.10.2020 – EVANGILE DU JOUR

Évangile de Jésus-Christ selon saint Matthieu 18,1-5.10. 

À ce moment-là, les disciples s’approchèrent de Jésus et lui dirent : « Qui donc est le plus grand dans le royaume des Cieux ? »
Alors Jésus appela un petit enfant ; il le plaça au milieu d’eux,
et il déclara : « Amen, je vous le dis : si vous ne changez pas pour devenir comme les enfants, vous n’entrerez pas dans le royaume des Cieux.
Mais celui qui se fera petit comme cet enfant, celui-là est le plus grand dans le royaume des Cieux.
Et celui qui accueille un enfant comme celui-ci en mon nom, il m’accueille, moi.

Commentaire de Matthieu 18/ 1-5.10

Gardez-vous de mépriser un seul de ces petits, car, je vous le dis, leurs anges dans les cieux voient sans cesse la face de mon Père qui est aux cieux.

Lectures Mémoires des Saints Anges Guardiens – SVD Congo

Acclamons et partageons la parole de Dieu :

COMMENTAIRE :

Catéchisme de l’Église catholique

§ 333-336 (© Mame-Librairie Editrice Vaticane ; Eds. Mame, Plon 1992; p. 78-79)

Les saints anges gardiens : l’unité de l’univers visible et invisible

De l’Incarnation à l’Ascension, la vie du Verbe incarné est entourée de l’adoration et du service des anges. (…) Leur chant de louange à la naissance du Christ n’a cessé de résonner dans la louange de l’Église : « Gloire à Dieu… » (Lc 2,14). Ils protègent l’enfance de Jésus, le servent au désert, le réconfortent dans l’agonie, alors qu’il aurait pu être sauvé par eux (…). Ce sont encore les anges qui « évangélisent » (Lc 2,10) en annonçant la Bonne Nouvelle de l’incarnation et de la résurrection du Christ. Ils seront là au retour du Christ qu’ils annoncent, au service de son jugement. D’ici là, toute la vie de l’Église bénéficie de l’aide mystérieuse et puissante des anges. Dans sa liturgie, l’Église se joint aux anges pour adorer le Dieu trois fois saint (Is 6,6) ; elle invoque leur assistance (ainsi dans le Canon romain ou la liturgie des défunts ou encore dans l’ « Hymne chérubinique » de la liturgie byzantine) ; elle fête plus particulièrement la mémoire de certains anges (St Michel, St Gabriel, St Raphaël, les anges gardiens). De l’enfance au trépas, la vie humaine est entourée de leur garde et de leur intercession. « Chaque fidèle a à ses côtés un ange comme protecteur et pasteur pour le conduire à la vie » (St Basile). Dès ici-bas, la vie chrétienne participe, dans la foi, à la société bienheureuse des anges et des hommes, unis en Dieu. ***************** « L’Hymne des Chérubins » (offertoire de la Divine Liturgie de St Jean Chrysostome) : Nous qui, dans ce mystère, te louons avec tous les saints et avec toutes les créatures des cieux et chantons l’hymne trois fois sainte à la vivifiante Trinité, déposons maintenant tous les soucis du monde pour recevoir le Roi de toutes choses, invisiblement escorté par les armées des anges, alléluia.

Les signes et la protection de notre Ange Gardien !

LECTURES :

Livre de l’Exode 23,20-23a.

Ainsi parle le Seigneur : « Je vais envoyer un ange devant toi pour te garder en chemin et te faire parvenir au lieu que je t’ai préparé.
Respecte sa présence, écoute sa voix. Ne lui résiste pas : il ne te pardonnerait pas ta révolte, car mon nom est en lui.
Mais si tu écoutes parfaitement sa voix, si tu fais tout ce que je dirai, je serai l’ennemi de tes ennemis, et l’adversaire de tes adversaires.
Mon ange marchera devant toi. »

Une pause par jour – 2 octobre 2017 | «Notre-Dame des 3 Vallées


Psaume 91(90),1-2.3-4.5-6.10-11.

Quand je me tiens sous l’abri du Très-Haut
et repose à l’ombre du Puissant,
je dis au Seigneur : « Mon refuge,
mon rempart, mon Dieu, dont je suis sûr ! »

C’est lui qui te sauve des filets du chasseur
et de la peste maléfique ;
il te couvre et te protège.
Tu trouves sous son aile un refuge :
sa fidélité est une armure, un bouclier.

Tu ne craindras ni les terreurs de la nuit,
ni la flèche qui vole au grand jour,
ni la peste qui rôde dans le noir,
ni le fléau qui frappe à midi.

Le malheur ne pourra te toucher,
ni le danger, approcher de ta demeure :
il donne mission à ses anges
de te garder sur tous tes chemins.

1er dimanche de Carême C

01.10.2020 – EVANGILE DU JOUR

Évangile de Jésus-Christ selon saint Luc 10,1-12. 

En ce temps-là, parmi les disciples, le Seigneur en désigna encore soixante-douze, et il les envoya deux par deux, en avant de lui, en toute ville et localité où lui-même allait se rendre.

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Il leur dit : « La moisson est abondante, mais les ouvriers sont peu nombreux. Priez donc le maître de la moisson d’envoyer des ouvriers pour sa moisson.

14.02.2020 – EVANGILE DU JOUR – Centre Romand de l'Apostolat Mondial de  Fatima

Allez ! Voici que je vous envoie comme des agneaux au milieu des loups.
Ne portez ni bourse, ni sac, ni sandales, et ne saluez personne en chemin.
Mais dans toute maison où vous entrerez, dites d’abord : ‘Paix à cette maison.’
S’il y a là un ami de la paix, votre paix ira reposer sur lui ; sinon, elle reviendra sur vous.
Restez dans cette maison, mangeant et buvant ce que l’on vous sert ; car l’ouvrier mérite son salaire. Ne passez pas de maison en maison.
Dans toute ville où vous entrerez et où vous serez accueillis, mangez ce qui vous est présenté.
Guérissez les malades qui s’y trouvent et dites-leur : “Le règne de Dieu s’est approché de vous.” »

Jésus face à Jérusalem 1ère partie Luc 9.51 – ppt télécharger

Mais dans toute ville où vous entrerez et où vous ne serez pas accueillis, allez sur les places et dites :
“Même la poussière de votre ville, collée à nos pieds, nous l’enlevons pour vous la laisser. Toutefois, sachez-le : le règne de Dieu s’est approché.”
Je vous le déclare : au dernier jour, Sodome sera mieux traitée que cette ville. »

Acclamons et partageons la parole de Dieu !

COMMENTAIRE :

Bienheureux Columba Marmion (1858-1923)

abbé. – L’Opus Dei, moyen d’union à Dieu (Le Christ Idéal du Moine, éd. DDB, 1936 ; p. 434 ; rev.)

« Priez donc le maître de la moisson d’envoyer des ouvriers pour sa moisson » (Lc 10,2)

Le Christ laisse à accomplir par son Épouse, dans la suite des temps, une partie de la prière qu’il a récitée au moment d’offrir son sacrifice. Bien que cette prière soit d’une efficacité infinie, Notre-Seigneur veut que nous y unissions la nôtre. Un jour notre divin Sauveur considérant, de son regard divin, la multitude des âmes à racheter, disait à ses apôtres qu’il allait envoyer prêcher l’Évangile : « Priez le Maître de la moisson d’y envoyer des ouvriers » (Lc 10,2). Les apôtres auraient pu répondre : « Seigneur, pourquoi nous dites-vous de prier ? Votre prière ne suffit-elle pas ? » Non, elle ne suffit pas : « Priez » vous aussi. Le Christ Jésus veut avoir besoin de nos prières comme de celles de ses apôtres. (…) Pensons, aux instants où nous nous recueillons, que (…) du fond du tabernacle, le Christ va nous dire : « Prêtez-moi vos lèvres et vos cœurs pour que je puisse prolonger ma prière ici-bas pendant que là-haut j’offre mes mérites au Père. La prière d’abord : les ouvriers ne viendront qu’ensuite et leur œuvre ne sera féconde que dans la mesure où mon Père, attentif à votre prière qui est la mienne, fera descendre sur terre la rosée céleste de sa grâce ». (…) Au souvenir du sacrifice qui a racheté le monde entier, se sentant puissante de la puissance même du Sauveur, l’Église, de son regard de mère, parcourt les séries diverses des âmes qui ont besoin du secours d’en haut et offre pour chacune d’elles de spéciales supplications. Imitons cet exemple de notre mère et présentons-nous devant Dieu avec confiance, car à ce moment, nous sommes « la bouche de toute l’Église ».

Priez le maître de la moisson d'envoyer des ouvriers pour sa moisson. » «

LECTURES :

Livre de Job 19,21-27.

Ayez pitié de moi, ayez pitié de moi, vous du moins, mes amis, car la main de Dieu m’a frappé.
Pourquoi me poursuivre comme Dieu lui-même ? Ne serez-vous jamais rassasiés de ma chair ?
Ah, si seulement on écrivait mes paroles, si on les gravait sur une stèle
avec un ciseau de fer et du plomb, si on les sculptait dans le roc pour toujours !
Mais je sais, moi, que mon rédempteur est vivant, que, le dernier, il se lèvera sur la poussière ;
et quand bien même on m’arracherait la peau, de ma chair je verrai Dieu.
Je le verrai, moi en personne, et si mes yeux le regardent, il ne sera plus un étranger. Mon cœur en défaille au-dedans de moi.

LECTURE DU LIVRE DE JOB (19, 21-27)... - La foi en Dieu : l'espérance en  Jésus-Christ le Seigneur | Facebook


Psaume 27(26),7-8.9abcd.13-14.

Écoute, Seigneur, je t’appelle !
Pitié ! Réponds-moi !
Mon cœur m’a redit ta parole :
« Cherchez ma face. »

ne me cache pas ta face.
N’écarte pas ton serviteur avec colère :
tu restes mon secours.
tu restes mon secours.

Mais, j’en suis sûr, je verrai les bontés du Seigneur
sur la terre des vivants.
« Espère le Seigneur, sois fort et prends courage ;
espère le Seigneur. »

Mgr Hervé GIRAUD Twitterissä: "Psaume 26,13-14 Mais j'en suis sûr, je  verrai les bontés du Seigneur sur la terre des vivants. « Espère le Seigneur,  sois fort et prends courage ; espère